Charte de la diversité dans le Loiret
Ce matin, la chronique de France Inter parlait des jeunes issus de l'immigration qui ont réussi leurs études et doivent aller à l'étranger pour trouver du travail.
Une enquête de CB News identifierait la signature de la charte de la diversité à du "marketing social", la réalité étant que les entreprises, dans leur majorité, refuseraient d'embaucher ces jeunes qui sont obligés d'aller faire valoir leurs compétences dans des pays plus ouverts.
"En Australie [...] Nadir y a vécu 7 ans... "A l'autre bout de la terre, tout était plus simple, dit-il... Là-bas, je n'étais pas un Arabe de banlieue qui va arracher le sac des vieilles... J'étais un type sexy, exotique, romantique... J'étais un étranger en Australie, comme l'est un Suédois à Paris"... Cette aventure australienne lui a donné confiance, explique encore Nadir... Aujourd'hui, il est rentré en France... "car le combat, dit-il, doit se mener ici, dans mon pays"
De fait, peut-être devrait-on faire un permier bilan de cette charte : Qui l'a signé dans le Loiret ? Quelles pratiques dans ces entreprises ? Quelles pratiques dans la mienne ? Quels résultats ?
Evidement, on peut se dire qu'on y peut rien. Et si au contraire, on y pouvait tout, collectivement mais aussi personnellement ?
Une enquête de CB News identifierait la signature de la charte de la diversité à du "marketing social", la réalité étant que les entreprises, dans leur majorité, refuseraient d'embaucher ces jeunes qui sont obligés d'aller faire valoir leurs compétences dans des pays plus ouverts.
"En Australie [...] Nadir y a vécu 7 ans... "A l'autre bout de la terre, tout était plus simple, dit-il... Là-bas, je n'étais pas un Arabe de banlieue qui va arracher le sac des vieilles... J'étais un type sexy, exotique, romantique... J'étais un étranger en Australie, comme l'est un Suédois à Paris"... Cette aventure australienne lui a donné confiance, explique encore Nadir... Aujourd'hui, il est rentré en France... "car le combat, dit-il, doit se mener ici, dans mon pays"
De fait, peut-être devrait-on faire un permier bilan de cette charte : Qui l'a signé dans le Loiret ? Quelles pratiques dans ces entreprises ? Quelles pratiques dans la mienne ? Quels résultats ?
Evidement, on peut se dire qu'on y peut rien. Et si au contraire, on y pouvait tout, collectivement mais aussi personnellement ?
Le numéro 372 de Responsable évoquait cette question.
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